Afrique : l’industrie musicale se structure
Durant tout le FESPAM, au sein du MUSAF, des professionnels de France et d’Afrique se sont réunis pour analyser la situation des industries créatives sur le continent et proposer de nouvelles pistes (conquête de marchés, rémunérations générées par les les nouveaux supports de la musique, rôle des diasporas, stratégies de communication dominées par les réseaux sociaux) . Ils ont proposé des actions à mener sur le continent face à une Union Africaine qui a mis depuis 2021 les industries culturelles dans son agenda politique. Interview de Luc Mayitoukou, directeur de Zhu Culture (Agence Culturelle / Management) originaire du Congo, basé à Dakar et consultant auprès de nombreux organismes, dont l’Union Africaine, deux professionnels issus de la diaspora, Alain Bijeck, créateur du MOCA, le Marché Officiel des cultures d’Afrique et Lord Killer, producteur de rap et directeur de Vibes TV qui a révolutionné le mode de production du rap dans l’hexagone. ”
Depuis une vingtaine d’années, l’industrie musicale en Afrique se structure. Formation aux droits d’auteur, création d’agences et de structures de production et de management, techniciens du son, experts en marketing digital, multiplication des collaborations avec les artistes de la diaspora qui témoignent de leur expérience et investissent de plus en plus sur le continent. Trois acteurs du secteur témoignent. Luc Mahitoukou , directeur de Zhu Culture (Agence Culturelle / Management) originaire du Congo, basé à Dakar, spécialiste de la formation et conseiller de nombreuses institutions dont l’Union africaine, Lord Killer, le plus jeune producteur du rap français, directeur de Vibes TV, qui a révolutionné le mode de production du rap dans l’Hexagone KAPIA KAPEMBE directeur des Opérations – fondateur de NOUSSANSEUX(Maison de disques ) et Alain Bidjeck,directeur du MOCA, le Marché Officiel des cultures d’Afrique .
des acteurs important de l’industrie musical africaine actuellement par le Magasine ANGO DEPRESSAO